Un autre exemple de nuisance des espèces sauvages sur les activités humaines est la présence de goélands argentés sur les installations solaires placées sur le toits des grands hangars de stockage.
Il est de plus en plus courant de voir des énormes hangars dont les toits sont recouverts de panneaux solaire.
Ces toits sont très prisés par les goélands pour y passer la nuit.
Ils sont ainsi protégés des prédateurs et relativement peu dérangés par les humains.
Ces colonies parfois composées de centaines d’individus engendrent de grandes quantités de fientes sur les panneaux photovoltaïques, ce qui baisse significativement leur rendement.
Sans compter les pelotes de réjection et les divers déchets que les goélands charrient qui sont susceptibles de boucher les chéneaux.
La pratique de l’effarouchement à l’aide de rapaces est très efficaces sur ce genre de nuisances.
Les goélands sont très impactés par la présence d’un nouveau prédateur, sur un site qu’ils affectionnaient pour l’absence de prédateurs justement.
Nos oiseaux de fauconnerie ( pourtant diurnes) sont conditionnés à voler la nuit, éclairés par une lampe puissante, au terme d’un apprentissage.
Ceci nous permet de maintenir la vigilance même si des goélands arrivent tardivement, une fois la nuit tombée. Car ces oiseaux eux volent bien la nuit.